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- L'Echo de Lyon27 décembre 1891à la casquette à car-reaux jaunes et verts était à son poste. Il buvait, debout devant le «pied humide» de la place Raspail et il trinquait frater-nellement avec un camarade ■ Roumanie, se met-trait, elle aussi, aux pieds de l'empire' d'Allemagne. Tous les goûts sont dans* la nature, mais il faut une monarchie pour en avoir d'aussi pervertis. S.PICHON. —
- L'Echo de Lyon03 avril 1892, car la nuit dernière, un ^ ??s" « pied humide », tenu par Mme Louise Saur, , ^ère quai de Bondy, près, du pont du Change, a fr t la été fracturé à l'aide d'une-pince-monsei-on v
- L'Echo de Lyon12 mars 1892, 18. Pied-humide dévalisé.— Les voleur ont fracturé le « pied-humide » tenu par M. Si-monne! au bout du pont Lafayette. Ils ont emporté des liqueurs, du pain, do la volaille
- L'Echo de Lyon25 décembre 1891'oubliez pas ceci : Quoi qu'il arrive, à midi et à six heures du soir, je boirai un verre à ce « pied humide », qui est à la descente du pont dé la Guillotière sur la place où -ils viennent, ■ portant la barbe à la. Jésus-Christ, vêtu i; d'un veston de velours à larges galons, \ d'un pantalon à pied d'éléphant et d'un ; petit chapeau, à calotte ronde,.. —
- L'Echo de Lyon23 février 1892accident mortel est arrivé rue Villeroi. Le jeune Louis Moret, âgé de sept ans, se rendait à l'école, lorsque, en voulant tra-verser la chaussée, il fut renversé sous les pieds du cheval'affaire du comptoir Faleh. Ce que voyant, M. Lafont les écroua tous en attendant des renseignements. Les cambriolems. — La nuit dernière, des voleurs ont fracturé la porte du « pied
- L'Echo de Lyon26 décembre 1891gants, mon ami. Le matin, dans ce quar-tier populaire, cela vous ferait tout de suite remarquer. ;. Allons, je passe le premier, et à i^idi, c'est entendu, je serai au « pied humide ses cheveux plats et gras, un pantalon de velours bleu, que l'usure avait rendu d'une couleur indéfi-nissable, mais qui, par son galon de sois pisseuse, par sa coupe à pied d
- L'Echo de Lyon04 avril 1892trottoir près de la Ficelle. Voleurs dérangés. — En ouvrant le :< pied humide » qu'il exploite quai de l'Ar-îhevêché, M. Auguste Marchis, rue des Deux-Cousins a remarqué sur la
- L'Echo de Lyon14 janvier 1892fit conduire chez lui par le jeune Pe-pino qui, de là, se rendit place Bellecour où il stationna toute la nuit, payant des petits verres à ses collègues dès que le pied humide en-rivé. Ils prirent le cadavre par la tête et par les pieds, l'amesèrent au-dessus du trou béant. — Ça y est ? — Oui. — Lâche tout I Et le corps +omba lourdement au fond de
- L'Echo de Lyon02 août 1891. Une enquête est ouverte. Vols dans les « pieds humides ».— Fran-çois C, manoeuvre, dont nous avons an-Honcé, hier, l'arrestation pour vols dans un « pied humide », sur le cours
- L'Echo de Lyon01 août 1891..., a comparu, hier, en police correclion-îelle et a été condamné à un mois de prison. Vols dans les « pieds humides ». — L'a-/ant-dernière nuit; dés malfaiteurs avaient i-acturé les buvettes dites « pieds humides » situées sur le cours du Midi et sur le cours ^lambaud. < Dans la journée d'hier, les agents de la ' >ùreté ont arrêté ces individus, qui ont été
